Un nuit au paradis.

Kalas se reveilla dans une magnifique chambre blanche. Ses blessures avaient été guéries.
Il se redressa et aperçu Ayame.
Il constata avec gène qu'il étais torse-nu dans le grand lit à baldaquin.
Il ne pouvait s'empêcher de fixer Ayame.
A ce moment là, peut être ne se contrôlait-il plus vraiment. Il sortit du lit, alla s'assoir à côté de Ayame et l'embrassa.
C'était d'abord un baiser doux, langoureux. Il la souleva et la déposa sur le lit, et cette fois-ci l'embrassa plus énergiquement. Ses mains caressèrent les flans de la jeune femme. Il se surprit à frissoner.
Il attrapa la demi-ange par les mains, croisa ses doigts dans les siens et les plaqua contre le lit. Dans cette position il se retrouvait au dessus d'elle et elle ne pouvait plus bougait. Il la regarda une novelle fois et à peine eu t-il apperçu ses yeux qu'il ne pût s'empêcher de se jeter sur ses lêvres avec fougue (mais toujours en prenant soin de ne pas lui faire mal).
Il descendit petit à petit vers son cou et prît un plaisir fou à l'entendre soupirer.
Il avait l'impression qu'elle lui appartenait, et qu'il pourrait la protéger et la garder toujours près d'elle...

Il relacha un importante quantité d'énergie positive afin d'ênnivrer les sens de sa bien-aimée.
Il glissa sa main sous le corset de la jeune femme et s'arrêta un instant pour ressentir les flots démentiels d'énergie qui la traversaient.
Il défit un petit peu son corset, et elle ne dis rien.
Il déposa des baiser sur son ventre parfait. Très vite les baisers devinrent plus passionés. A la fin ses baisers étaient presque des morsures tellement Kalas mourrait d'envie pour elle. Bien sûr il faisait attention à ne pas abimer sa peau douce et magnifique.

Finalement il défît entièrement son corset et le jete au sol.
Il frissona en appercevant le corps magnifique de la jeune femme et se rendit compte qu'il avait peut être était trop loin. Il failli se retirer mais il sentit l'étreinte de Ayame sur sa poitrine et son dos. Il continua ses baisers passionnés sur son corps.
Il ne pourrait dire combien de temps ce manège avait duré, mais ils arrivèrent au moment ou tout deux se retrouvaient dévétus.
Un peu géné, Kalas regarda sa douce et lui dit :

- Il ne faudrait pas aller trop loin tu ne penses pas ?

Mais apparament les deux être souffrait de la même attirance l'un pour l'autre et donc, de façon si soudaine pour eux, les voilà qui se retrouvaient unis, un seul être, ils mélangaient leur âme et leur corps.
Kalas s'écroula presque. Il avait l'impression que le courant d'énergie qui parcourait le corps de Ayame coulait désormais en lui aussi.
Avec un certaine hésitation, il entama le mouvement qui allais unir définitivement leur deux âme.
Le plaisir était intense, pas seulement charnelle. Kalas voyait s'éclairer tous les aspect de sa vie. Mais à cet instant il pensait surtout à sa bien-aimée.
Les soupirs et les gémissement de la belle le rendaient complètement fou.
Il sentait son corps brulant et ses ongles s'enfonçant dans son dos.
Finalement, les deux êtres s'approchèrent de l'extase.
Le plaisir était tel qu'ils laissaient s'échapper des volutes d'énergie. La salle était parcourue d'arcs électriques et l'air était devenu tellement dense que les petits objets flottaient.
Leur plaisir éclata à l'unisson et Kalas, en dépit de toute sa résistence, sombra dans un profond sommeil remplis de plaisir et de doux rêves. Il était toujours en elle...

Ayame veillait silencieusement sur son maître depuis quelques heures. La fatigue, elle ne l'avait pas ressentie. Elle avait le coeur léger ce soir et elle savait que la cause en été la présence de Kalas masi elle ne voulut pas se l'avouer. Tout simplement parce que leurs chemins seraient amenés à se séparer et qu'il fallait que la jeune femme s'habitue à l'abscence de son maître. En silence, elle l'observait. Souvent elle eut l'envie de se glisser soru les draps mais cela aurait été indescent et irrespectueux. Kalas ouvrit les yeux et se redressa. Ayame lui adressa un grand sourire, ce qui était plutôt rare chez elle. Ses yeux se posèrent sur le torse nu de son jeune maître mais se détournèrent dans le vide. Ainsi elle pouvait mieux resister à ses envies. Il vint s'assoeir près d'elle et tou doucement leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser doux et langoureux. Il la souleva et la porta dans le lit. Ayame ne sut pas faire la différence entre la douceur de la peau de son maître et celle des draps en soie. Dès lors les caresses devinrent plus intense et Ayame ne put retenir le plaisir qu'elle éprouvait envers l'homme auquel elle s'abandonnait. Il lui enleva son corset avec douceur et les baisers devinrent de légeres morsures. Mais tout cela restait très passionnel et apprècié par chacun. L'union de leurs âmes étaient telle qu'ils fusionnèrent corporellement. Le mouvement qu'il créa les enmena à l'extase et un flux énérgétique émana des deux corps, presque simultanément. Apèrs cela Kalas s'effondra de fatigue et s'endormi dans les bras de l'angelesse. Cette dernière se retira et caressa le corps de son maître, elle voulait en profiter une dernière fois. Elle respira une dernière fois l'odeur de l'homme qu'elle aimait avant s'endormir à son tour l'entourant de ses bras comme pour le proteger de toute menace.

Kalas se réveilla le lendemain matin, l'esprit embué par les plaisirs de la veiille qu'il ressentait encore, mais sous une forme altérée!
Il patienta un moment afin de se calmer puis se retourna vers sa douce.
Le temps sembla se figer
Il ne pouvvait s'empêcher d'admirer son visage d'enfant, si beau, si attendrissant.
Il passa sa main dans ses cheveux et contre sa joue. Son contact le mît complètement hors de lui.
Il se reprocha doucement d'elle et l'embrasse délicatement, de façon à ne pas la réveiller.
Ensuite, il déposa de nombreux baisers dans son cou. Elle soupira dans son sommeil. Il estima en avoir bien assez fait et se retira.
Il sortit du lit, s'habilla, ranga toutes leurs affaires et mis la chambres en ordre. Ensuite, d'un claquement de doigt il fît apparaître des vêtements à sa douce. Il enroula les draps de soie autour de son corps frêle et la pris dans ses bras comme une enfant.
Elle dormait toujours. Il se diriga d'un pas lent vers la salle royale afin de ne pas troubler son sommeil.

Arrivée dans la salle royale, il s'addressa au roi des anges qui l'attendait là, tranquilement.

- Yygdrassyl, roi des anges, je dois partir, et avec la fille. "Ils" nous ont retrouvé. Maintenant je dois changer mes plans. Un des mes semblables a pris contact avec le roi des morts, me permettant de rester un peu plus de temps à ses côtés. De plus, rester ici serait mettre en danger inutilement la vie des habitants du saint royaume.
Je vais être franc, je désire partir au plus tpot, et je voudrais que vous m'accompagniez. Je crois bien que vous êtes le détenteur de droits d'une keyblade semblable à la sienne.

Kalas posa Ayame sur le sol et s'agenouilla.

- Grand yygdrassyl, apportez-nous votre aide! Aidez nous à lutter contre le mal. En échange je vous dirais tout ce que je sais sur les keyblades et je vous aiderais à en acquérir une...

[suite salle royale pour la reponse]